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Nonspecific Medication Side
Effects and the Nocebo Phenomenon
Barsky, Arthur J.; Saintfort, Ralph; Rogers, Malcolm P.;
Borus, Jonathan F.
Department of Psychiatry, Brigham and
Women's Hospital (& Harvard Medical School), 75 Francis St,
Boston, MA 02115
Journal of the American Medical Association (2002) 287:
622-7 |
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When are médication side effects
due to the nocebo phenomenon ? (letters)
JAMA (2002) 287: 2502-4 (jama_nocebo_ltte.pdf
91 Ko) |
Se pose le problème des placebos
actifs (et toutes les dérives sont possibles, sinon probables !) :
(...) in the double-blind evaluation of tricyclic antidepressants, atropine
can be used in the control group to mimic side effects, thus
decreasing the likelihood that either investigators or subjects would
infer the correct treatment assignment. Indeed, there are indications
that the difference in effectiveness between active drug and placebo
is markedly less when an active drug is compared with an active
placebo. Thus, recent reviews have emphasized the importance
of an active placebo control group in drug efficacy trials, due to
their superior capacity to maintain blinding. (cf.
Salamone JD. A critique of recent studies on placebo effects of
antidepressants : importance of research on active placebos.
Psychopharmacology. 2000;152:1-6)
Les mensonges de
promesse que font les grands, les personnes riches et
puissantes, les Seigneurs, ceux qui sont en place, se
connaissent à la manière : ils vous mettent la main sur l'épaule,
ils vous embrassent, ils vous serrent, ils sourient, ils se
plient en vous saluant ; ce sont autant de marques qui doivent
vous faire connaître qu'ils vous trompent et qu'ils vous en
imposent. Vous reconnaîtrez de même leurs mensonges en matière
de faits, aux serments excessifs qu'ils vous font à plusieurs
reprises.
(...)
Après avoir bien considéré la vaste étendue de la surface
cylindrique de l'âme et le grand penchant qu'ont tous les
hommes de ces derniers temps à croire les mensonges, je suis
persuadé que le moyen le plus efficace por combattre et
détruire le mensonge est de lui oppposer un autre mensonge. Si
ce qu'écrit SWIFT est vrai, la vérification sans retard est urgente.
Voici une tentative vaguement pamphlétaire, issue d'un imaginaire
assurément tourmenté, pour mettre à l'épreuve à la fois la
séduisante théorie et l'improbable capacité d'autodérision de ses
cibles. Si elles rient, c'est tout bon, et Gulliver est le cousin de
l'écrivain. Sinon, c'est l'asi[l]e en Bastille, au milieu des
Lilliput : Ville-Évrard, Maison-Blanche ou Ste-Anne. Et encore, si le
plumitif y arrive ! Le largage sur la DZ de l'I.P.P.P. pouvant être
particulièrement risqué...
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Les loups-garous de Thiercelins |
Un jeu de société , une
folie-thérapie, où le pouvoir de quelques-uns, finit par détruire
la communauté, à moins de démasquer à temps leur secret... Des
villageois, parmi eux des loups-garous trop humains. Heureusement, un
capitaine-gâteux, une petite fille qui ne dort que d'un oeil, un
voyant, une sorcière, un cupidon désignant deux amoureux et un
chasseur vont compliquer la tâche de out le monde. Un maître de jeu
et 8 à 18 joueurs (voire plus en comptant les voyeurs) pour des tours
de jeu qui durent de 30 à 60 minutes.
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Les
comas du Docteur Ba-be-bi-bobobo ou les silences du
chat-mâne
est une version médico-hospitalière en expérimentation du
concept précédent. Plus près de la perversité calomnieuse
quotidienne, plus près de l'irréalité, plus près de
l'au-delà. Qui sont les nocebos. Qui sont les placebos ? Le
meneur de jeu est-il neutre comme il le prétend ? |
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Origines myth(olog)iques du NOCEBO
(dont la logique førcíe n’échappera à
personne)
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Une probable légende, remontant au dernier siècle
avant le millenium Y2k, raconte que le Calife Jax
qui ne cachait pas son admiration pour certains aspects de la culture
du Pays du Soleil Levant, s'y rendit en voyage officiel alors qu'il n'était
encore que Grand Vizir. Lors de l'invitation inéluctable, forcément
inéluctable et sublime aussi, à une représentation de théâtre (qui
là-bas se dit Nô) intitulée « Nos Noeuds Serrés »,
et à laquelle il ne put se soustraire, il avait pour voisine la plus
belle, la plus cultivée, la plus délicieuse des actrices de l'époque
(une sorte de geisha en mieux, une quasi-Adjani). Les dirigeants de ce
pays aux traditions excessivement raffinées, qui avaient pressenti le
fabuleux destin de Jax,
ne voulaient rien lui refuser (pour des raisons classées secret défense,
niveau "cosmic" au moins) et ils avaient réussi à
persuader la demoiselle de sacrifier une soirée, sinon une nuit. À
l'époque, celle-ci n'avait rien de commun, ou presque, avec ce
quasi-paysan encore un peu frustre, quoique sorti de l'ENÂ (ce qui peut être
une explication malgré tout), qui préfèrait flatter le flanc des
belles (et des) bêtes de sa main connaisseuse aux foires du comice
agricole de sa très chère province.
Au moment critique de la pièce, quand l'acteur-héros
en larmes va se sacrifier pour sauver son peuple, Jax,
apparemment saisi par l'émotion, se penche vers sa voisine en
murmurant « Nô, c'est beau ».
Malheureusement, le Calife Jax,
qui est un homme bien latéralisé d'habitude, a tendance à confondre
sa droite et sa gauche dans les instants critiques (ce qui lui
d'ailleurs permis de remporter des jack-pots assez inattendus à la
roulette russe plébiscitaire). Il s'est penché du mauvais côté, du
côté du garde du corps, qui pour la circonstance était le plus
grand athlète de Sumo de ce temps-là. Celui-ci imperturbé donna délicatement
une petite tape amicale sur la cuisse de son voisin pour le réveiller
de ses égarements. Seulement, ces champions aux cheveux lisses, sinon
gominés [que certain vizir ambitieux de l'époque et petit de
taille
n'hésitait pas à mépriser, de loin...] ne connaissent pas leur
force tranquille. Un petit « yé cric » suivi d'un
grand « yé crac » s'ensuivit : ...
Le site pla.ce.bo se veut un site aussi sérieux que possible.
Il n'est guère possible d'aller plus loin dans l'irrévérence,
sans risquer de fâcher les grincheux ou de faire fuir les curieux un peu raides.
En conséquence la suite des origines myth(olog)iques du nocebo
se trouve sur le site collectif comme des manches
http://comme.des.manches.free.fr/nocebo.htm#yecrac
Vous y trouverez aussi :
NON NOCERE :
une pièce en 4 actes (øu moins) en cours d'écriture.
L'argument ? Celui de tout théâtre. Le courage, la force morale, le doute,
la ruse, la dérision, l'insolence peut-être, la conscience du temps qui presse,
inspirés par
la fausse logique, la manipulation, la mauvaise foi, la soumission, la lâcheté, l'abandon,
les règles truquées, l'édredon du temps qui passe.
Quand ? De nos jours.
Où ? À l'hôpital.
Les acteurs ? Nous...
Les victimes ? Nous...
Les bourreaux ? Nous...
Une pièce masochiste alors ?
Un huis-clos de cons-
pirateurs, plutôt...
Et comme l'esprit-frappeur des salles de garde veille,
Guignol pourrait bien être au rendez-vous.
Une ménagerie de singes
un extrait du livre de l'ancien Doyen Even (Necker)
sur les Hôpitaux de Paris
mais pas seulement...
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